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Idéologie, religions,orientation scolaire à base de propagande d'endoctrinement des enfants de CM2 sur la Shoah Appel aux Sectes..Délires d'un président, ou manifestations du syndrome de Robespierre avec la religion de l'être suprème?Culte du martyr et maladie mentale... | RELIGIONS SECTES
mélange des genres, propagande et dérives
Par gauthier de bruges, Passage de l'Étoile
Pourquoi cette polémique sur la croyance, et les sectes, reprochée à l'Elysée, et à sa conseillère, surgit-elle maintenant?
On trouve une première réponse dans le climat des transits actuels de Neptune en Verseau, depuis 1998 (les aberrations idéologiques et les constructions réactionnaires religieuses utopiques, absurdes, insensées et inconséquentes).D'Uranus en Poissons 2003 (la politique en religion). Et surtout la réception mutuelle de ces deux planètes, aboutissant à une forme de renouvellement idéologique principalement marquée par la confusion du politique, des confessions, et du religieux. Rien d'étonnant à l'agitation des porteuses, et porteurs de ces aspects, correspondant aux influences des temps.
La seconde réponse se trouve dans les thèmes de Madame Mignon et de Nicolas Sarkozy.
Née en 1968, Madame Mignon cumule en domiciles marsiens le transit de Saturne en Bélier, une aptitude à cogner. Et celui de Neptune en Scorpion, sensibilité aux superstitions, aux comportements mystiques, aux corruptions des croyances et des spiritualités. L'association Mars Saturne Neptune, résultant de ces positions, accentue la dimension de sectarisme, de fanatisme, d'action idéologique, les discours brutaux, ainsi que le recours aux méthodes de manipulation. L'intrusion du politique dans le religieux, du religieux dans le politique, leurs assemblages et jonctions idéologiques réciproques, annoncent diverse formes d'embrigadement programmée des mentalités et des opinions.
Dans quels buts?
On identifie tout d'abord le développement d'une culture irrationnelle de la victimisation.
Argument développé par Nicolas Sarkozy et Emmanuelle Mignon, selon lequel le "devoir de mémoire de la shoah en CM2 est fondamental afin de lutter contre l'antisémitisme". " Le discours du Président était très clair : l'enjeu est d'éduquer la victime potentielle comme le citoyen responsable parce nous pouvons tous un jour être victimes d'actes de racisme et nous pouvons tous un jour en devenir les auteurs" E.Mignon
La mise en culture mentale, de la mémoire des enfants juifs déportés, aura pour principal effet d'habituer les générations des années 1998, et suivantes, à l'acceptation docile du principe des rafles policières et à la rétention passive dans des centres de surveillance. Une application de la loi du conditionnement par l'exemple, régulièrement vérifiée dans nos sociétés cathodiques. Une tuerie dans une école aux Usa, diffusée au journal télévisé, se reproduit peu après en se multipliant dans d'autres établissement scolaires, en Allemagne, en Finlande, ou ailleurs. Effet d'impreignation, de contagion et de propagation de la communication.
But poursuivi : lever les barrières psychologiques mentales chez les enfants afin d'accepter, et collaborer activement, aux actions répressives. Habitués dés l'école aux rafles policières, en banalisant les arrestations d'enfants d'immigrés et de sans papiers, les écoliers persuaderont ensuite leurs parents de l'inutilité de s'en émouvoir. Cette manipulation des consciences stoppant les mouvements de sympathie, et les réactions humanitaires de type Réseau d'éducation sans frontière, facilitera le passage de 25 000 expulsions annuelles à plus de 150 000. Le détournement de la mémoire de la Shoah de sa finalité, utilisée à des fins de politiques intérieure, correspond aux techniques d'appropriation, et de détournement, des thèmes idéologiques, dans lesquelles le président, et ses conseillers, excellent depuis la campagne électorale de mai 2007.
Déclinée sous diverses formes de contraintes morales imposées, du "devoir de mémoire des enfants de la Shoah", au "devoir de protection contre les monstres en liberté", la politique de victimisation inquiéte. En effet, la récurrence des termes employés par le Président Sarkozy, contraint l'astrologue, raisonnant par analogie, à comparer son thème avec celui de Robespierre à raison de l'apparition de nombreuses similitudes en 8 mois d'exercice du pouvoir.
Le thème du dictateur du Comité de Salut Public comporte, comme chez Nicolas Sarkozy, la présence angulaire de Mars au Descendant (Secteur 7), Uranus en Poissons (forme d'aspects Jupiter Uranus et Uranus Neptune), la Lune en Bélier (relation Mars Lune).
Comme Sarkozy, se posant en défenseur des victimes, Robespierre militait pour "les opprimés", "les deshérités", "les pauvres, "les non possédants". Il dénonçait à toutes occasions "la corruption" comme Sarkozy dénonce "les monstres en liberté" pédophiles et autres, en réclamant comme lui, sans cesse, des mesures de répression.
Comme Sarkozy soliloquant sur "la religion facteur d'espérance", et sa conseillère partisane du développement des mouvements sectaires. Robespierre substitua "la morale à l'égoïsme" en instituant en France la Religion civile de l'Etre Suprême associant la divinité à l'humanité et au martyr. Avec d'impressionnantes manifestatons publiques où il officiait en grand prêtre.
Robespierre traduisit ses théories dans la réalité par la répression sanglante des exécutions publiques des guillotinés, en administrant ce que l'Histoire nomma la Terreur..
Nicolas Sarkozy, refusant de financer les mesures de traitement et de soin des délinquants emprisonnés, imposa en France en février 2008 la législation des mesures de détention de sureté imaginée par Hitler, introduite dans le code pénal Allemand de la République de Weimar par une loi du 27 novembre 1933.
Un aveu de faillite de l'Etat, incapable d'amender les délinquants pendant le temps de leur peine et de favoriser leurs réinsertions dans la société.
Ainsi en France on s'oriente, au motif de la sécurisation de la société, dans la répression des individus susceptibles de présenter un danger, sans avoir commis aucun fait. Punition et sanction avant tout crime ou délit. Actuellement internement à vie de tout délinquant condamné à plus de 15 ans de prison, si le président décide d'appliquer sa loi sans tenir compte de son invalidtion partielle le 21 février par le Conseil Constitutionnel.
Demain, au nom de la sécurité des victimes potentielles, les mesures de sureté s'appliqueront à toute occasion contre n'importe qui, pour n'importe quoi, préventivement. Il suffira d'une majorité parlementaire pour voter les textes des sanctions.
On observe donc que la politique de victimisation conduit aux dérives de la répression des innocents.
Robespierre chûta en thermidor 1794 pour avoir dénoncé des complots de trop, spécialité où il excellait à monter les français uns contre les autres, en faisant régner la peur et l'insécurité permanente dans la société.
Il y a tout lieu de penser que Nicolas Sarkozy contribuera à rendre de plus en plus odieuse la condition de victime dans l'opinion publique en nourrissant des rejets de plus en plus importants à leurs encontres.
Sans préjuger des déviations à venir, et notamment l'apologie vraisemblable, d'un culte ou d'une politique des martyrs et de la souffrance, l'astrologue observe que les temps du mélange des genres, des confusions religieuses et politiques, et de leurs dérives, se rapproche de leur terme.
Une interrogation toutefois demeure. Celle de la permanence des acteurs actuels à monopoliser la scène! A l'heure où le Français moyen se demande "si le président a encore toute sa tête". Et que le quotidien espagnol El Pais titre "Sarkozy ce malade".
gauthier de bruges©03-08 | ||
Les discours successifs du président français Sarkozy, depuis décembre 2007, à Rome avec le Pape, à Ryad avec les gardiens de la Mecque, au diner du Crif avec les institutions juives, ainsi que l'entretien sur les sectes à VSD, le 20 février, de sa maîtresse à penser, et directrice de cabinet, Emmanuelle Mignon, à demi démenti ensuite, troublèrent par leurs propos. Lesquels se résument au fait que le curé, le pasteur, le rabin, ou l'imam dispensent des valeurs supérieures à celles de l'instituteur. «Dans la transmission des valeurs et l'apprentissage de la différence entre le bien et le mal, l'instituteur ne pourra jamais remplacer le curé ou le pasteur, même s'il est important qu'il s'en approche, parce qu'il manquera toujours la radicalité du sacrifice de sa vie et le charisme d'un engagement porté par l'espérance.»(Nicolas Sarkozy).En l'absence de trouble à l'ordre public les sectes doivent être autorisées en France (E.Mignon)