Haïti et PLuton prévoir en pure perte Haïti et PLuton semblent entretenir des relations que l'on observe seulement à l'échéance des siècles de distance. Haïti et PLuton constituent une application des relevés d'évènements tels que ceux auxquels se livraient autrefois les prêtres astrologues dans les temples sumériens, puis ensuite mésopotamiens 3 à 4000 ans avant jc.Haïti et PLuton quand l'actualité interroge les Temps.
L'analyse
Par gauthier de bruges, Passage de l'Étoile
- La Croix Rouge a évalué entre 40 000 et 50 000 morts le bilan du séisme de mardi à Haïti Le Figaro flash actu 13/01/10
Une question revenait alors, presque sans réponses au début. Ce seisme était-il prévisible?Le quotidien Le Monde, le lendemain, répondait catégoriquement. - La secousse, la plus forte depuis plus de deux siècles, a surpris les spécialistes.Aucun microséisme précurseur n'avait été détecté Le Monde 13/01/10 Une affirmation démentie deux jours plus tard dans le quotidien Belge Le Soir, révélant, qu'en 2007, un expert français attirait l'attention des autorités sur l'imminence d'un tremblement de terre. Le séisme de magnitude 7 sur l'échelle de Richter qui a balayé Haïti pourrait avoir fait 100 000 victimes. Le tremblement de terre avait été annoncé en 2007 par un expert français. Y a-t-il d'autres catastrophes prévisibles dans les prochaines années? Aurait-on pu éviter le drame haïtien? Le chat avec le sismologue Thierry Camelbeeck, de l'Observatoire royal de Belgique.Le Soir 14/01/10
Un Blog du Monde le même jour apportait d'autres témoignages similaires, datant de septembre 2008, et mars 2009, émanant d'autres spécialistes. Le géologue Patrick Charles 67 ans et l'ingénieur du Bureau des Mines et de l'Energie Dieuseul Anglade. Des alertes vaines. Le journal haïtien Le Matin notait à ce propos "« Les mises en garde sont régulièrement adressées. Mais les mesures ponctuelles sérieuses tardent à venir. »
Les alertes résultaient de secousses faibles enregistrées du 1er au 12 septembre 2008.
Ces dates de la fin d'année 2008 et de janvier 2010 parlent à l'astrologue, si elles sont mises en perspectives avec les deux séismes précédents à capacité destructrice équivalente, de 1751 et 1771 dans l'île.
En effet, la période de 1751 précède de 10 ans l'entrée de PLuton dans le Capricorne, devenue effective le 8 janvier 1762. En 1771, neuf années plus tard un second séisme détruisait la capitale de Haïti.
On observe qu'en septembre 2008 PLuton stationnait à 28°34 du Sagittaire préparant son entrée définitive en Capricorne en 2009. Il apparait qu'un espace de temps de 260 ans environ sépare les séismes majeurs, correspondant à une révolution complète de PLuton sur l'écliptique.
Selon les historiens et les géologistes, le premier évènement observé date de 1673, sans avoir la force destructrice de ceux de 1751 et 1771, comparables à celui de 2010.
Une observation faite par le mécanicien Garnier-Malet relie les révolutions de Pluton et le cycle de 25 000 ans de l'inclinaison de la Terre sur son axe de 2,5°. Il est logique que les pressions colossales exercees sur les plaques de l'écorce planétaire se traduisent, par des séismes, à l'emplacement des failles. Selon une périodicité temporelle repérable. Dont les manifestations sur le terrain, apparaissent en tracés via la méthode des relevés sismographiques.
L'astrologue, appliquant la méthode des prêtres mésopotamiens, note les corrélations entre les événements, et les positions planétaires afin d'en déduire une conséquence. Le drame Haïtien d'origine très récente, s'inscrit dans le retour périodique de PLuton en Capricorne. A échéance des prochains 260 à 290 ans, lors du redressement de la Terre sur son axe, un nouveau séisme d'ampleur similaire, et même supérieur, est vraisemblable.
Toutefois, la prédictivité d'une catastrophe aussi précise soit-elle, même avec une marge d'incertitude de 18 mois, s'avère tragiquement insuffisante. Ainsi les alertes successives des géologues, de 2008 et 2009, furent négligées.
Les millions de dollars débloqués par le FMI, et les autres Etats, en janvier 2010, afin de financer la reconstruction, serviront à rebâtir les édifice dévastés, sur les mêmes emplacements, jusqu'à la prochaine fois. Depuis 1673 le même scénario se reproduit. Pour quelles raisons les mêmes erreurs tragiques d'implantations humaines restent-elles sans corrections pendant plus de 340 ans ?....
gauthier de bruges 01/10
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